Ethenielle Reagan

Prénom et nom

Ethenielle Reagan

Surnoms

Ethy, Nielle…Ce sont les deux seuls qui semblent posséder une certaine popularité

Date de naissance

Le 15 mai 1978

Sexe

Je suis une femelle, êtes-vous aussi aveugle pour ne pas le constater ?

Âge

Je vais avoir 30 ans.

Physique

Description générale

J’essayerai d’être brève. J’ai de longs cheveux bruns tirant sur le noirs, légèrement bouclés, qui encadrent avec gracieuseté mon visage fin et délicat. Celui-ci est mince, lisse et poli, mes traits sont dessinés avec un doigté d’expert. Aucun n’est prononcé, aucun n’est disgracieux, tout est parfait sur mon visage harmonieux et quelque peu pointu. J’ai des yeux de couleur noisette en forme d’amande, toujours soulignés d’une subtile ligne noire. Mon nez est légèrement retroussé. Mes pommettes sont hautes et mes lèvres sont pulpeuses. Ensuite, je peux mentionner que je suis plutôt grande et mince, voire musclée avec tous les exercices que je fais dans une journée. Aussi, sans me vanter, j’ai un joli corps, bien tourné, féminin et tout le tralala. Disons que je peux en faire baver des mâles, mais je n’en ai cure. J’ai une peau basanée par le soleil, douce comme le duvet.

Taille

Cinq pieds et huit

Corpulence

Mince

Signe particulier

Je n’ai absolument rien, de cette façon je suis certaine qu’on ne pourrait me retracer.

Caractère

Description générale

Je ne me définis pas une personnalité propre, à dire vrai, je n’en possède pas réellement de mon avis. Pour tout dire, je ne suis pas ces personnes qui se connaissent véritablement, je ne suis pas ces personnes qui ce sont forgées un tempérament unique. Le mien change continuellement : je peux aisément devenir une femme revêche et froide autant le mois suivant je peux me métamorphoser en parfaite jeune femme d’une douceur exemplaire. Tout ceci pour mon travail. Je m’affuble de divers visages et transforme mon physique de façon à me fondre avec beaucoup plus de facilité dans le milieu dans lequel je travaille.

Ainsi, je vais donc vous décrire du mieux que je le puis ce que je suis exactement dans les circonstances présentes, à Wisteria Lane. Je suis une femme déterminée, persévérante et tenace dans tout ce que j’entreprends, voire même minutieuse, méthodique et perfectionniste. Autant ajouté immédiatement que j’ai bonne mémoire et que je déborde de curiosité, je récolte donc autant d’informations que mon cerveau peut en assimiler. Le savoir est selon moi quelque chose de crucial dans ma vie, je déteste les personnes stupides et écervelées, je ne veux point leur ressembler. Quoi d’autre ? Je suis capable d’être charmante à mes heures et même rieuse, aimable et adorable, lorsqu’il est question de faire bonne figure devant autrui, évidemment. Chose surprenante, il m’est aisé de faire de nouvelles rencontres aussi bien dire que je suis de nature plutôt sociable si je suis bonne humeur, ce qui n’arrive qu’une fois par semaine.

Un rien m’irrite. Mon métier me crispe les nerfs, il m’empêche de me reposer la nuit comme tout être normal car je suis du genre à méditer, à songer, à réfléchir jusqu’à ce que mes neurones soient brûlées et exténuées, jusqu’à ce que mon corps soit éreinté et faible. J’aime m’installer devant ma fenêtre, regarder les cieux alors que mes pensées vagabondes allégrement sur les sujets de mes enquêtes. Je détiens un caractère agressif et bagarreur. N’est-ce pas formidable d’enfoncer ses jointures dans le ventre de son adversaire, de le frapper, de se faire frapper, de se battre ? Ce sont les seuls contacts charnels que je tolère. Par contre, je ne réponds pas aux affronts qu’on me porte, pourquoi se blesser inutilement pour une personne idiote qui ne connaît la définition du mot « respect ? ». Oh bien sûr, parfois, il m’arrive d’être un peu plus contrariée et d’envoyer au plancher cette ladite personne, mais généralement j’essaye de me contenir. Mon tempérament fougueux doit être mis en bride. Par la suite, j’aime provoquer les gens et admirer la détérioration de leurs traits quand je commets un acte déplacé. C’est idiot, n’est-ce pas ? Peu importe la façon, je n’ai aucune retenue, aucune gêne. Suite à cela, je suis réservée, secrète et solitaire. La présence d’un individu m’ennui considérablement et me met sur le qui-vive, je ne fais confiance à personne. De plus, je ne ressens pas le besoin d’être avec quelqu’un, ni de recevoir de l’affection, ni de ressentir l’envie des contacts intimes que j’abhorre. Je n’ai aucun humour et je ne ris que pour la réputation du personnage que j’interprète durant mes missions. Également, je suis stricte, inflexible dans mes idées dont pas un seul argument ne viendra les ébranler, je suis aussi excessivement entêtée.

Finalement, je tiens à préciser que je suis bonne actrice, ma mère me dit souvent que j’aurais dû me lancer dans cette carrière, non merci. Ainsi donc, devant les gens, j’adopte plutôt une personnalité multiple à tel point que je ne me connais plus. Je ne sais plus si j’aime réellement le maquillage comme lors de l’une de mes nombreuses enquêtes où la femme que je jouais se peignait le visage, je ne sais plus si je raffole de la pêche et de la natation. Je n’ai pas la moindre idée sur mon style vestimentaire qui ne cesse de changer, bien que je les aime tous. J’aime les beaux vêtements, j’aime mettre en valeur mes courbes, non pour aguicher ces hommes niais, mais pour moi seulement. Sinon, j’aime tous les arts et les pratique : la peinture, la littérature, l’écriture, le théâtre – celui-là je vais plutôt voir des représentations -, le cinéma et la danse. J’adore aussi le conditionnement physique et quelques sports. Je suis une personne qui aime bouger et qui doit toujours remuer, ne serait-ce qu’un doigt. Pour finir, j’aime la cuisine, mais je n’ai jamais le temps ou le courage de me faire un repas digne de ce nom.


Tic

Taquiner mon lobe d’oreille en mordillant ma lèvre inférieure.


État

Origine

Américaine

Statut civil

Célibataire depuis belle lurette

Raison de la présence à Wisteria Lane

Je dois enquêter sur un personnage douteux, un prêtre me dit-on, qui aurait effectué quelques actes louches.

Passé

Ma vie n’est pas l’un de ces contes merveilleux que l’on aspire à vivre, c’est-à-dire qu’elle n’a rien de fantastique, de splendide, de grandiose. Elle est simple et comporte une enfance perturbée et une adolescence plus ou moins troublée. Qu’est-ce que je veux signifier par enfance perturbée ?? Eh bien, dès mon plus jeune âge, j’ai assisté aux scènes primitives de mes parents ou à leurs ébats sexuels, si vous préférez. La plupart du temps, ils ne savaient pas que je les épiais de la porte entrouverte et donc, ils ne se gênaient pas pour accomplir toute sorte de pratiques douteuses, toutes pires les unes que les autres de mon avis. Je crois ne jamais les avoir vus dans la position classique : le missionnaire l’appelle-t-on.

Je me souviens de la première fois. J’étais dans mon lit et j’entendais des gémissements, des cris étouffés, des murmures et un lit qui grince avec force. À certain moment, je croyais percevoir le mot salope ou même pute suivi d’un claquement sec et d’un grognement de fauve blessé. Curieuse et terrifiée, je me suis mise sur mes petits pieds et j’ai marché en direction de la provenance de ce vacarme : la chambre de mes parents. Là, en me glissant dans l’embrasure de la porte, j’ai aperçu mon père à quatre pattes derrière ma mère, celle-ci, menottée aux barreaux du lit, avait les paupières closes et la bouche pincée. Il la plaquait avec ses mains ou bien la pressait davantage contre son bassin qui remuait avec énergie, alors qu’il soufflait comme un boeuf. Il faut dire que je ne savais pas de quoi il s’agissait, mais je n’ai fait aucun bruit, contemplant avec consternation cette…ce qu’ils effectuaient. En fait, ils répétaient cette scène régulièrement et tard dans la nuit, toujours me réveillant, toujours me traumatisant.

Mon père était le type d’homme qui se permet tout et surtout en présence de ses enfants, ma sœur et moi. Il touchait les parties intimes de ma mère devant nous, comme ses seins qu’il prenait bien soin de taquiner, de masser d’une poigne ferme, aussi il agrippait ses fesses et même que parfois il faufilait sa main entre les cuisses de ma maman, lui arrachant des gémissements. C’est à peine s’il ne la prenait pas devant nous, sur le comptoir ou sur la table ou même contre un mur. Peu lui importait qu’on le voit, je crois même que ça l’excitait et qu’il aimait exhiber son sexe brandit devant nous, pauvres innocentes que nous étions. Ma mère n’a jamais émis de protestations et ne s’est jamais débattue, alors la mine basse elle lui octroyait le droit de faire ce que bon lui semblait de son corps à elle, mais jamais elle le regardait dans les yeux. C’est un peu plus tard que j’ai compris qu’il jouait le dominant et elle, la soumise.

Ma sœur et moi avons été affectées par ces démonstrations effrayantes, mais nous avons réagi différemment. Elle, Délia, s’est mise à ramener plusieurs jeunes hommes à la maison et à imiter les rites étranges de nos parents comme si elle pouvait y trouver un quelconque réconfort. Malheureusement, mon aînée est devenue exactement comme ma mère, soumise et tendant son postérieur pour qu’on la monte comme le font les animaux. Pour ma part, je suis vite devenue traumatisée par les mains. Ces mains qui agrippent, qui se referment autour d’un poignet comme un étau puissant, ces mains qui touchent, qui s’enfoncent, qui explorent. Ces mains qui ont l’avantage sur l’autre, ces mains qui font mal. Encore aujourd’hui, j’ai peur de ses deux parties du corps et je frissonne d’horreur et de dégoût si un homme ose déposer sa grosse patte sur mon corps.

J’ai donc vieilli dans une famille perverse, voyant certaines choses que je ne désirais pas connaître et entendant certaines choses que je ne désirais pas percevoir. Grâce à mon père, je me suis mise à haïr les hommes, à avoir peur d’eux et de leurs mains et de leur membre frémissant qui se fraie un passage dans l’intimité de la femme. Au début de mon adolescence, j’ai essayé d’avoir des relations hétérosexuelles avec des types que je toléraient bien, mais je n’étais pas prête à ce qu’un mâle me touche et me fasse jouir, aujourd’hui encore je me pose la question. Inconsciemment, je me suis tournée vers mon sexe à la fin du secondaire. J’avoue avoir eu quelques relations avec des femmes depuis, mais jamais très longtemps. Leurs mains m’effraient et je n’ai pas le courage de m’embarquer dans une relation sérieuse.

J’ai toujours été excellente dans mes études. Au secondaire, j’ai reçu des bourses, des certificats et toute la panoplie. Au cégep, alors que j’étudiais pour devenir détective, j’ai remporté des concours et quelques prix. À l’université, je me tuais à l’étude et encore là, j’avais les meilleures notes. Entre temps, j’avais déménagé dans un appartement, ne pouvant plus accepter la débauche qui se déroulait dans la maison. Ma sœur et mon père avec des relations d’ordre sexuelles, je crois même qu’ils incluaient ma mère dans leur jeu sale. Bref, le sexe régnait en maître chez moi. Depuis lors, je ne parle plus à aucun d’eux, ayant honte de posséder une famille aussi…révoltante.

Je n’ai pas de domicile fixe, je change constamment de demeure pour faciliter mes enquêtes. Présentement je suis à Wisteria Lane.

Je n’ai raconté que les grandes lignes, je préfère dévoiler que le nécessaire. Cependant, peut-être qu’en me côtoyant vous apprendriez à me tirer d’autres souvenirs de mon passé.

Mon métier

Détective

Famille

Parents ou tuteurs

Ma mère se nomme Alanna et mon père Jack. Je n’ai jamais été proche d’eux.

Frères et soeurs

Une sœur du nom de Délia qui je n’apprécie guère.

Secret de famille

Je ne crois pas que les secrets de ma famille vous intéresseraient, donc je les garderai sous silence.

Qui partage ce secret ?

Quelqu’un…

Autres fréquentations importantes

Quelques collègues, mais déjà là, il n’y a pas grand monde qui occupe une place importante dans mon cœur, je serai même tentée de dire personne.

Autres

Mes rêves et ambitions pour l'avenir

Je n’ai jamais eu de rêves, mais que des ambitions toutes réalisées aujourd’hui.


Moi

Votre nom ou surnom

Prénom : Émilie

Surnoms : Milie, Bébé Milie d’Chiasse, d’Chiasse, Nael ou Al’Than, tite mine pour mes tuteurs – aucune question -, grosse vache – terme affectueux de ma très charmante cousine, si quelqu’un l’utilise, je lui balance un poing en plein figure – et n’ange – mais ça, il n’est permis d’être employé que par une seule et unique personne -.

Votre âge

16 ans, bientôt 17 et après 18, ensuite 19, puis 20 et ainsi de suite…

Comment avez-vous connu le forum ?

C’est Adam qui m’a obligée, me menaçant avec un fouet et autres objets de torture, de m’y inscrire…

Désirez vous qu'une phrase particulière soit écrite sous votre avatar ?

Ce n’est pas obligatoire.

Quel est le nom de la personne qui figure sur votre avatar ?

L’actrice Catherine Zeta-Jones

Pour le jeu, aurez-vous besoin que quelqu'un joue un frère, une soeur, une tante, un ami ... ?

Pas nécessairement, mais si quelqu’un veut s’inclure dans la famille de mon perso ou encore être l’un de ses proches, je n’y vois aucun inconvénient.

Avez-vous hâte que je vous valide ?

Tu parles d’une question ¬¬

La fiche est-elle trop longue ?

Tu aurais pu la mettre plus longue que ça, c’est à peine si elle m’a pris dix mille ans ¬¬ . Tapez-moi pas pour cette fiche médiocre…j’en avais plus qu’assez…

Avez-vous une critique à formuler sur le forum ?

Je ne me permets pas de critiquer tes forums ^^